Cartographie de l’exposition : La ville sonore réinventée de Jean Michel Basquiat.
La projection au coeur de l’exposition : Le contexte New-yorkais habité par Basquiat dans les années 80 : ses souvenirs, rencontres, expérimentations, risques et fantasmes. Une rue imaginaire entre flash-back et réalité déformé.
Extrait du montage vidéo réalisé pour le projet de scénographie « La mémoire sonore de Jean Michel Basquiat ».
Des expériences sonores…
Basquiat et la performance musicale « Studio Of Gray »
Cet espace fait découvrir l’explorateur musical qu’était le peintre par l’immersion du visiteur dans la playlist de son groupe «Gray».Un jukebox revisité intégrant un studio miniature imaginaire, propose une playlist aléatoire du groupe, déclenchée par pression des boutons de la machine par le visiteur.
Des ombres fantomatiques des musiciens projetés sur la maquette, viennent redonner vie au studio le temps d’un morceau.
Visualiser le son ou La rue du Poète
Contempler les oeuvres de Basquiat en écoutant sa voix. Se plonger dans sa pensée, son discours pour partager un moment plus intime avec l’artiste.
La rue du poète guide le visiteur jusqu’à l’expérience musicale proposée dans laquelle la célèbre oeuvre «Bird of Money» se dessine et se révèle au rythme de la musique «Bird» de Charlie Parker, pour faire la transition avec l’espace dédié au Jazzmen.
Cet espace musical dévoile l’influence de la figure emblématique du griot présente dans l’œuvre de l’artiste. Le visiteur explore les œuvres autours d’une stèle centrale qui diffuse de la musique liée à sa culture haïtienne.Plongé au coeur d’une cérémonie vaudou, des ombres dansantes sont projetées sur la célèbre photo du peintre, assis au milieu de bougies.
« Je ne suis jamais allé en afrique. Je suis un artiste qui a subi l’influence de son environnement New-yorkais mais je possède une mémoire culturelle.Je n’ai pas besoin de la chercher, elle existe. »
Un paysage sonore