Ces petites pièces sont presque comme des vestiges laissés par mon corps, des empreintes de pression que mon corps laisse derrière lui.
Il faut gommer au maximum ces irrégularités pour obtenir plus que de la masse organique. Ainsi masquer l’identité du corps.
Dans cette recherche excessive j’ai peut-être produit des monstres. Mais en réalité ce ne sont pas des monstres, mais des preuves que le corps existe. Il est question de rendre sa réalité, au corps du public, de le pousser dans ses retranchements.