Le commissariat qui nous a été fournis proposait de catégoriser la vie de Basquiat et son environnement, en proposant différents thèmes. Nous avons alors décidé de suivre cette dynamique en conservant les catégories, tout en mettant l’accent sur certaines zones.
Nos intentions étaient de s’inspirer de l’univers de Basquiat, le New York des années 1970 à 1990 et sa façon de travailler. Ses tableaux possèdent un effet de couches et de superposition qu'on trouvait intéressant d'où l’idée d’avoir à certains moments de l'exposition différents points de vues. La philharmonie de Paris, le site qu'on traite, propose une double hauteur sous plafond ce qui nous a permis d'accentuer les proportions et la verticalité de l'exposition.