Cette scénographie propose un dialogue entre le New York des années quatre-vingts,
industriel, délabré et les références musicales de Jean-Michel Basquiat. Au fil de cette exposition, le
visiteur est invité à déambuler dans un espace aux codes urbains représentant l’effervescence du
New York de l’époque. La visite est ponctuée par un mobilier présentant la collection de vinyles de
Basquiat. Celui-ci devient le fil rouge de l’exposition et offre aux visiteurs la possibilité d’écouter les
artistes et musiciens qui ont inspiré son œuvre, mais également de découvrir l’univers musical des
années soixante-dix, quatre-vingts. Au fur et à mesure de l’exposition, la déambulation urbaine
symbole de la performance de Samo laisse peu à peu place à l’exposition de ces toiles, apogées de
son œuvre.