diplomé.e avec félicitations
Jean-Michel Basquiat est un artiste afro-américain New-Yorkais des années 60. Influencé dès le plus jeune âge par ses parents, il s’intéresse très tôt à la peinture, la musique, l’anatomie et l’art de rue.
L’exposition met en avant les différentes facettes de Basquiat à l’image de son mode de vie, d’un côté l’artiste polyvalent avec la notion d’expérimentations, de partage, l’idée de faire et créer ensemble et de l’autre le mélomane avec le monde de la nuit et ses inspirations.
Les différentes séquences d’exposition
L’immersion dans l’univers de Basquiat, dans l’univers d’une époque, se fait à travers une balade sonore immersive.
Le public déambule autour d’une famille de mobilier dessinée pour l’exposition et déclinée pour répondre à une plus grande variété d’usages en permettant également différentes ambiances lumineuses.
C’est la première salle de l’exposition dédiée au contexte de New-York, de la rue et du monde de la nuit. Le public est immergé dans cette effervescence des années 70-80 grâce à des projections toute hauteur venant envahir l’espace.
Le public arrive dans le deuxième salle de l’exposition: c’est l’atelier de Basquiat avec ses divers influences. En sortant de cette boîte lumineuse, les visiteurs se retrouvent confrontés à un mur de vinyles représentant les traces musicales de toute une période: celle du Jazz et du Be-Bop.
C’est un long couloir de transition qui mène à la salle documentaire/ film sur la gauche avec la projection du film Down Town 81.
Le public est plongé dans la culture africaine de Basquiat, à travers la découverte des traditions ancestrales mais aussi l’impact de la lutte afro-américaines sur les sociétés de l’époque. La boîte est le laboratoire de l’artiste renfermant les codes et signes présents dans ses oeuvres.
La salle jazzmen est la salle de la performance corporelle et musicale. La boîte lumineuse représente la scène et le spectacle et des écoutes personnelles sont proposées grâce aux casques suspendus. Les assises autour de la scène viennent renforcer la notion de représentation, de spectacle.
C’est la dernière salle de l’exposition avec un retour vers l’extérieur, le monde de New-York de jour, on voit l’influence de Basquiat après sa mort et jusqu’à aujourd’hui. Une grande fresque participative est proposée et invite le public à laisser une trace, la trace qui restera après l’exposition.