La mort, conjointe à nos existences, fascine autant qu’elle effraie, divise autant qu’elle unit. Et comme tout sujet qui convoque notre fragilité humaine, notre éphémérité, nous avons eu besoin, nous avons besoin et nous aurons besoin de l’apprivoiser, à travers des espaces, des objets, des rites…

Cette démarche foisonnante, parfois presque vertigineuse tant les interprétations spatiales, objectives, artistiques, scientifiques et symboliques de la mort sont nombreuses, m’a amené à une conclusion certaine, jamais la mort n’a été aussi omniprésente au sein des préoccupations du vivant.

Reportage photographique au cimetière Monumentale de Milan-©Adèle Meunier