Beyrouth. Une histoire tumultueuse qui n’en finit pas. Une histoire qui a nourrit et qui nourrira toujours les esprits et réflexions des artistes. Une histoire qui devient projet artistique, une histoire qui s’inscrit dans la mémoire collective et individuelle, une histoire qui s’efface, une histoire qui perdure.
« Il nous dit enfin que notre ville se meurt - dying if not already dead - mais aussi que nous avions même oublié son existence, oublié même que nous avons oublié, perdus comme nous l’avons été à débattre avec des mots vides comme Nostalgie, Mémoire, Avenir, Centre, Reconstruction... »
Pierre Hage-Boutros
La mémoire de la guerre civile libanaise est l’une des plus grandes questions à laquelle est confronté le peuple libanais jusqu’à présent.