L'autodestruction c'est la remise en question de son travail, de ses réflexions, pour évoluer et répondre aux nouvelles attentes d'une société en constante évolution. En observant un point précis de l'histoire du design : les radicaux des années 60 à Milan, j'ai voulu comprendre quels ont été les catalyseurs de cette énergie nouvelle de création, et comment le design fait pour exister au cours des siècles. D'après les réflexions d'Andrea Branzi dans la "Casa Calda" et de Enzo Mari dans "Autoprogettazione", je m'interroge sur le processus de création et la relation qui existe entre le créateur et son usager.
Mettre en crise le design pour décortiquer les réponses et les propositions qu'il peut apporter à l'humain, dans sa capacité d'améliorer nos modes de vie et nos comportements.